Au pouvoir au Royaume-Uni depuis le 4 juillet, les dirigeants travaillistes planchent sur une stratégie africaine renouvelée censée être achevée avant la fin de l'année. Ils ont d'ores et déjà identifié plusieurs pays prioritaires et un calendrier de visites.
Un groupe de députés russes planche sur un déplacement dans la capitale sénégalaise. Initialement attendue pour la fin du mois de septembre, leur venue risque d'être repoussée de quelques semaines en raison du contexte politique incertain au Sénégal.
Avant de les déployer dans l'Est, l'armée congolaise veut protéger ses appareils sans pilote contre les manpads du M23 et de leurs supplétifs de l'armée rwandaise.
Le stade de Mandjafa, en périphérie de N'Djamena, sera inauguré courant 2025. Assurée par une entreprise chinoise et financée par Pékin, sa construction est particulièrement suivie par le président, Mahamat Idriss Déby.
Sous pression des minotiers, les autorités marocaines ont rouvert la voie au blé russe, quasi absent du royaume depuis deux ans. Moscou est désormais le deuxième fournisseur du pays.
Dans un courrier adressé au patron de la diplomatie européenne le 10 septembre, une dizaine de parlementaires espagnols dénoncent le changement de politique impulsé en juillet par Emmanuel Macron sur le dossier.
L'agence nucléaire nationale s'est rapprochée de partenaires américains dans l'espoir de progresser sur son projet de centrale sur le littoral, au détriment de Rosatom. Mais le chantier reste contesté au sein de la population.
Contrarié par la Zambie sur une nomination à la BAD et sur le dossier israélo-palestinien, le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, reproche désormais à son homologue Hakainde Hichilema de vouloir affaiblir la cohésion de l'organisation régionale d'Afrique australe.