Clôturée le 12 novembre sur un bilan en demi-teinte, la 26e Conférence des parties sur le climat (COP26) de Glasgow a commencé sur un violent accrochage, à huis clos, entre les pays africains et les capitales d'Amérique latine.
Le service africain de transfert d'argent de l'opérateur indien Airtel est depuis quelques mois la cible des investisseurs américains et qataris.
Ayant achevé l'étude de préfaisabilité de son projet de fer guinéen de Nimba, la SMFG a tiré au clair presque tous les éléments indispensables à son développement, hormis un point fondamental : le transport de sa future production sur le rail opéré par ArcelorMittal, nécessaire pour exporter ses volumes vers les acheteurs.
Ancien ministre des affaires étrangères ivoirien de 2016 à 2020, Marcel Amon Tanoh pourrait de nouveau revêtir les habits de diplomate.
La société Aeneas West Africa, filiale implantée à Abidjan du groupe tricolore Aeneas, va représenter les intérêts de TR Equipement dans le pays, mais également dans toute l'Afrique de l'Ouest.
Dans la foulée de la COP26 à Glasgow, le chef d'Etat congolais Félix Tshisekedi cherche à profiter de ses dernières semaines à la tête de l'Union africaine pour faire parler d'une seule voix le continent dans la lutte contre le réchauffement planétaire.
Sous l'impulsion de Luanda, plusieurs chefs de milices armées ayant participé l'année dernière à la Coalition des patriotes pour le changement ont récemment signé un premier accord avec le gouvernement centrafricain. Mais deux groupes rebelles restent réfractaires au projet et sont suspectés par Bangui de se réarmer rapidement depuis des pays de la sous-région.
Les Emirats arabes unis craignent de perdre tous leurs acquis en Libye, où leur protégé Khalifa Haftar est affaibli. Pour autant, ce dernier refuse tout rapprochement avec le chef du gouvernement de transition, Abdelhamid Dabaiba.
Après les départs de deux conseillers diplomatiques du cabinet présidentiel, Walid Hajjem, qui était de toutes les réunions, se fait plus rare lors des rencontres bilatérales.
Contrairement à son voisin tanzanien, l'Ouganda est incapable de prendre des décisions dans l'urgence. Tout doit passer par le patriarche Museveni, ce qui freine considérablement l'adoption de lois relatives au développement des futures exploitations pétrolières.
Plusieurs banques européennes ont suspendu leurs transactions avec le Soudan, à la suite du coup d'Etat du général Abdel Fattah al-Burhan le 25 octobre.
Habituellement conciliant avec les investisseurs chinois au Zimbabwe, le président Emmerson Mnangagwa a dû révoquer un permis minier attribué à Heijin Mining dans la province de Mashonaland East pour éviter une révolte dans les instances locales de son propre parti, le ZANU-PF.